JEAN-PIERRE  ATTAL

 

En 2003, je prolonge ma réflexion et décide de décoder la multitude. Ici, les foules sont « scannées », fouillées, fragmentées par les codes.

Chaque objet possède un code à barres unique dont le principe est universel. Associé à la communauté humaine, le code indique de la même manière une double implication : l’appartenance à un groupe, et d’autre part, la certitude que chaque « numéro » est unique.

Ces  recherches utilisent également la grille de lecture des codes génétiques. Sur un substrat photographique de foule, un marquage unique d’ADN suggère les spécificités d’un individu.

 

 

© Jean-Pierre Attal > 2003